 |  Sujet: Une plume noire flotte sur du sang. ~Ludwig Travis~  Sam 1 Juin - 16:51 | |
|  (c) copyright Ludwig Travis FICHE D'IDENTITE What's my story ?
Ma mémoire me joue souvent des tours depuis les cinquante dernières années que j’ai vécu, c’est pour ça que je tiens régulièrement à jour un journal dans lequel j’ai remis toute mon histoire, de mes propres souvenirs ou de ce que m’a raconté ma sœur.
Je suis né en 1863 dans une famille aisée originaire d’Angleterre. Mon père était le maire, Conrad Travis à cette époque, il m’a toujours raconté sa rencontre avec ma mère comme une histoire romantique, le jeune aristocrate anglais en voyage en France rencontrant une belle jeune pour qui il était prêt à tout. Cet histoire m’a bercé durant mon enfance, ce n’est qu’un peu plus tard que j’ai appris la vérité mais ça je laisse à ma sœur vous le compter. En parlant d’elle, elle est né 7 ans avant moi mais à l’entendre parfois ressasser le passé, il semblait que celui qui était mon père n’avait pas été des plus tendre avec elle, surement ne voulait il pas de fille. Mais si elle n’avait pas été là, je crois bien que moi-même je n’aurais jamais été là pour que vous lisiez ce qui va suivre. Mais pour en revenir à mon père, c’était un immonde pourceau qui n’a jamais vu ma mère que comme un moyen d’avoir une descendance légitime. Ma mère, elle, était surement la plus douce des femme que ce monde ait pu porter, elle s’était faite une raison à propos de mon père mais avait préféré veiller à l’éducation de ma sœur. Après ses six ans, mes parents partirent pour les États-Unis pour y vivre de une superbe demeure à l’image de la puissance et de l’influence des Travis. J’aimerais rire au sujet que ma conception s’est surement faite durant le voyage retour mais ma mère y a trop souffert donc je m’en abstiendrais.
Je suis né un jour où la pluie vint arroser les carreaux de la chambre où ma mère faisait travail. Conrad semblait être l’homme le plus heureux au monde d’obtenir un descendant mâle, ma mère aimante me procura tout l’amour dont j’avais besoin et ma sœur m’aima immédiatement, je pouvais dire que j’allais surement avoir un belle vie, être aimé par tout le monde sans aucune jalousie, sans aucune haine à mon égard. Mais je rêvais éveillé à cet instant, mon père m’aimait moi, mais il haïssait ma mère et ma sœur, s’il l’avait pu, il se serait débarrasser d’elles aurait transformer la demeure en un harem. Mais je pense bien que ce sentiment de haine était réciproque de la part d’Amelia et n’allais pas tarder à naître en moi.
Je ne peux pas dire que nous ayons été les jeunes gens les plus sociable du pays, nous étions plus proches des enfants cloîtrer chez eux et qui se suffisaient. Elle m’a toujours protéger des autres, les invitées de mon père, celles qu’il semblait faire venir pour moi, pour me « transformer en homme » comme il le disait si souvent. Elle a toujours été la pour moi et j’ai toujours été là pour elle. Je me rappelle d’un soir où elle avait une nouvelle fois envoyer paître une des filles de joie qui devait me faire passer à l’âge adulte, mon père était tellement ivre que ce geste lui suffit à sortir de ses gongs et à vouloir corriger ma sœur, et il allait surement le faire si jamais je ne m’étais pas mis entre sa main et le visage d’Amelia, le bruit de la gifle que je venais de recevoir fit stopper tout le brouhaha et tout les regards se poser sur lui et moi, son visage, je ne pourrais jamais l’oublier à cette instant, il venait de comprendre son geste et il songeait déjà au changement de notre relation, je n’allais plus jamais être le fils docile et silencieux que j’avais été jusqu’à présent, il savait bien que je ne pourrais jamais partir pas tant que ma mère serait toujours avec lui.
Et c’était bien la dernière chose à laquelle j’aurais voulu assister, ma mère était tombée gravement malade et ne sortais plus de son lit, ma sœur et moi restions alors toujours à son chevet, nous ne la quittions plus jusqu’à ce tragique soir où elle s’endormit pour la dernière fois, ce soir là, mon père n’était pas à la maison, il était encore avec une femme. Ce soir là, je fus anéanti et ma sœur elle-même n’arriva pas à me faire passer mon chagrin. Mon père profita de cette perte de morale chez moi pour reprendre emprise sur moi et me façonner à son envie pour que je devienne un digne représentant de la famille Travis et un homme de poigne suffisamment important pour que les autres familles voit un avantage à lier leur sang au nôtre. Et avec tout cela, je perdais de vue celle pour qui je faisais tout ça, ma « formation » m’éloignais de ma sœur et je ne pouvais la voir qu’au repas et durant quelques nuits où pris par le chagrin et l’insomnie, je la rejoignais dans sa chambre pour pouvoir parler, parler comme nous le faisions lorsque nous étions enfants, mon seul regret à être devenu un jeune homme était là à cette époque, je savais qu’un jour mon père n’hésiterait pas à la donner à un homme de bonne famille et suffisamment riche pour qu’elle ne l’importe plus, ça ou le couvent. Il m’avait aussi trouver une fille de bonne famille, attentionnée et je ne la laissais pas indifférente, elle semblait totalement éprise de moi mais voyait d’un mauvaise œil la relation que j’avais avec Amelia, ses paroles exactes étaient « Pourquoi? Pourquoi l’aimait plus elle que moi? », ma réponse fut un simple silence avant de quitter la pièce, je n’avais que faire des sentiment de cette jeune femme, plutôt mourir que de perdre ma sœur, j’avais déjà perdu ma mère, plus rien ne nous retenait à la demeure Travis.
Et cette idée ne tarda pas à grandir dans nos esprits, ma sœur avait rencontré un jeune homme que je n’appréciais pas du tout au premier abord, je le voyais comme celui qui allait me retirer le dernier être cher qu’il me restait, mais peu après les tragédies qui s’en suivirent ma sœur me compta son envie de m’emmener avec eux, loin de mon père, loin de cette folie que devenait ma vie, ma sœur était désormais souvent absente, et les assauts sentimentaux de celle avec qui j’étais censé passer le reste de ma vie de plus en plus fréquents, à point même que si j’en avais eu le courage à cette époque, j’aurais moi-même dit à mon père ce que je pensais de lui et que je partais pour un nouveau monde. Je prenais mon courage à deux mains et je m’apprêtais à dire en face ce que je pensais de lui à mon père et partir en partant retrouver ma sœur quand celle-ci entra dans la pièce où je me trouvais pour ensuite aller dans le bureau de Conrad. J’avais remarquais qu’elle était couverte de sang et avait une lueur étrange dans les yeux, mais je ne pus l’arrêter. J’entendis le vieillard criait de douleur un instant avant qu’un bruit violent fit trembler le sol, il était surement tomber. Je voyais alors ressortir Amelia de le pièce, du sang coulant du coin des lèvres de la jeune femme, cela me rappelait ces légendes sur les créatures de la nuit suceuse de sang sur lesquelles, quelques années plus tard un vieil écrivain irlandais et inspirera ainsi la peur pour tous les hommes et femmes. Je n’eus le temps de comprendre ce qui m’arrivait que toutes forces m’abandonnaient, je ne pouvais résister à ce que me demander ma sœur et je me retrouver à boire son sang à même ses veines, ses mains entourèrent ensuite mon visage avant qu’un voile noir ne se fasse sur mes yeux.
Je me réveillais et voyait ma sœur face à moi, de nous deux, je ne savais pas lequel était le plus couvert de sang. Ma gorge me brulait atrocement et je ne voyais qu’une seule chose qui pouvait effacer cette douleur, du sang, mon esprit divagua quelques instants avant que tout soit clair, il me fallait rendre une dernière visite à celle qui avait voulu de mon amour. J’entrais dans sa chambre par la fenêtre et la surprenait dans son sommeil, je posais délicatement ma main sur sa joue et lui ôtais la vie qu’elle m’avait tant de fois proposer de partager, j’acceptais enfin son offre, elle devait évidemment être la plus heureuse des femmes que j’accède à son désir, je la quittais sans vie sur les draps recouvert de son sang qui fut si agréable à mon palet. Je retrouvais ma sœur chez nous et elle m’emmenait chez une vieille femme qui nous fit à tout deux une bague qui nous protégerais de la lumière du soleil. Après cela, ma sœur prit la vie de la vieille femme et commença à se repaître de son sang, j’eus la même envie et saisit le bras de la femme afin de moi-même abreuver cette soif qui me faisait défaut.
Après quelques années, ma sœur rencontra un homme nommé Damon Salvatore, un de nos confrères à ce que je voyais, je n’avais personnellement rien contre lui au départ mais après qu’il lui ai annoncé que celui à qui elle avait offert son cœur, ma sœur s’éloigna de tout autre personne, j’étais le dernier avec qui elle parlait, le dernier dont elle avait besoin, je me sentait important pour elle, et je lui montrais qu’elle l’était pour moi. Je me souviens avoir parcourant beaucoup trop d’endroit où ma sœur assouvissait un rage due à sa soif, je comprenais ce fait moi-même j’avais parfois ces sortes de folie, mais les miennes était beaucoup plus violent que les siennes, certaines villes avaient vu leur population chuté par notre faute, on nous avait nommé les corbeaux dans les livres d’histoires, j’aimais ces animaux et ils nous suivaient assez souvent quand l’un de nos massacres se produisaient. Mais tout change aujourd’hui, nous sommes enfin de retour à Mystic Falls, juste devant la maison qui nous a vu grandir, je sais bien que ma sœur risquera de m’en vouloir, mais pour une fois, je prendrais la tête des directives, elle voudra surement éliminer cette famille mais pas cette fois, pour un nouveau départ je voulais au moins que quelques un soient épargner. Je les hypnotiserais et les ferais quitter la ville, voir le pays même. La seule chose qui pouvait m’ennuyer, ce serait que Damon était lui aussi dans cette ville, il m’avait vu à mes débuts en temps que vampire mais, il ne savait surement pas que j’avais appris à me débarrasser des nôtres, je n’appréciais vraiment pas que d’autres vampires croient bon de tourner autour de ma sœur. Je m’étais habitué à la veine de Vénus pour que ce point faible ne soit plus aussi important pour moi, de ce que je connaissais à partir de maintenant, c’était que mon dernier point faible était que quelqu’un ait la bonne idée d’utiliser un pieu en bois contre moi, où que quelqu’un arrive à faire ce que seule ma sœur a réussi à faire à partir de maintenant: c’est-à-dire toucher mon cœur. Mais bon, Mystic Falls, souhaites nous de nouveau la bienvenue. How people may see me ?
J’ai toujours été plus calme que ma sœur, et je le suis encore plus aujourd’hui, il faut bien que je me montre sous mon meilleur jour pour quand ma folie sanguine ne me prend pas. On peut facilement me prendre pour quelqu’un de méchant quand on ne fait que me regarder mais c’est tout le contraire, Amelia m dit même souvent que je suis adorable avec elle, mais c’est ma sœur, et les mensonges pour me faire garder le sourire sont souvent de rigueur. Je n’ai plus peur de rien, enfin une seule chose me fait un peu peur désormais, qu’on me prenne ma sœur, ou une autre personne qui compte beaucoup pour moi. Je suis malgré moi, quelqu’un au sarcasme facile, peu m’importe qui est face à moi, s’il me tape sur le système, je n’hésiterais pas. Je suis du genre très lunatique, ce qui me montre parfois très violent, je me souviens avoir arraché le bras d’un homme et le battre à mort avec juste parce qu’il avait mal parler de ma sœur, je l’ai suivit jusque chez lui et l’ai anéanti, j’aurais pu faire la même chose avec sa femme et ses enfants mais ceux-ci dormaient paisiblement. Je me documente beaucoup sur ce que je suis devenu, je cherche toujours un moyen de calmer ma soif et celle de ma sœur, mais rien ne semble marcher et je me vois donc obliger de m’abreuver assez souvent mais je choisis bien mes cibles, les personnes souffrantes dans leur lits d’hôpital à qui je propose d’abréger les douleurs, les meurtriers dont certains connu dans le monde entier, ma plus belle proie était celui que l’on appelait l’éventreur, je l’ai eu juste après sa dernière victime, trop tard pour la sauver mais assez tôt pour avoir le goût de l’adrénaline et le cœur battant la chamade. Je ne m’attends à rien recevoir des autres, les amis je n’en ai que très peu, les gens en qui j’ai confiance encore moins. La seule chose qui me reste à penser maintenant c’est que peu m’importe qu’il soit vampire, lycanthrope ou humain, celui qui s’approchera trop de ma sœur à mon goût aura intérêt à être le meilleur des hommes. Who am I ? (Vous derrière votre écran) |
♣ PSEUDO • Lud' / Lulu
♣ AGE • 17
♣ FRÉQUENCE DE CONNEXION • Euh... On verra
♣ COMMENT AS TU TROUVÉ LE FORUM • Ba, je me suis réveillé avec un super mal de crâne attaché à une chaise avec la fondatrice qui me pointait une arme sur le front en me menaçant... Enfin voila voila ^.^
♣ MOT DE PASSE •
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Dernière édition par Ludwig Travis le Dim 2 Juin - 17:48, édité 2 fois |
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Emploi/loisirs : Amateur de sang humain
| | Sujet: Re: Une plume noire flotte sur du sang. ~Ludwig Travis~ Sam 1 Juin - 18:00 | |
| Bienvenue à la maison Lud! (oui je te ferai un avatar, mais pour la ban tu te démerde  Non je blague mais je n'en fais plus, pour preuve je me sers de HTML pour les miennes désormais) |
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