ㄨ RÈGLEMENT ㄨ CONTEXTE ㄨ SCÉNARIOS ㄨ BOTTIN ㄨ PARTENARIAT

Un bruit sourd se fait entendre, les murs tremblent, je me réveille en sursaut. L’alarme se déclenche et je bondis hors de mon lit. Je sors de mon quartier et c’est la panique générale. Une deuxième attaque ? En même pas cinq mois ? Ces satanés rebelles ont signé leur arrêt de mort. Les agents, les recrues, toute la division est en alerte. Ça s'agite de partout, certains cherchent des armes, d’autres des gilets pare-balles sans oublier les petits courageux qui partent à l’affront sans renfort. Je croise au bout du couloir mon instructeur, un agent qualifié depuis de nombreuses années, fusil à la main, il charge son arme en vitesse.
« Monsieur, où est-ce que je dois me poster ?! » Lui demandais-je, affolé. Depuis mon arrivée ici je n’ai jamais été sur le terrain et n’ai encore tué personne pour le moment. Je ne suis pas arrivé au bout de ma « formation » mais les attaques répétitives des traîtres qui ne sont autre que d'anciens agents et recrues qui ont pu s’échapper de la Division une année auparavant, nous forçant, nous, nouvelles recrues à défendre les murs de la Division malgré nos lacunes dans certains domaines. « Tu prends une arme et tu tires sur l’ennemi ! » M'ordonna-t-il en haussant la voix avant de se diriger aux pas de courses où les balles fusent. Je ne me pose pas plus de questions et cours me diriger vers l’armurerie. Je croise le regard d’une recrue de toute évidence apeurée mais, qui tout comme moi, obtempère et s’arme en vitesse pour enfin allez-la où l’action se passe. Je suis stressé, je ne veux pas mourir ni même me faire capturer, la vue des cadavres qui baignent dans leurs sangs ne fait qu’augmenter ma frustration. C’est la folie, je me croirais à la guerre. Les bruits de tir s’enchaînent, des cartouches jonchent le sol au milieu des blessés, des morts, et des débris, ça crie de partout. Je manque de peu une balle qu’un rebelle m’a destiné, je me cache contre un mur, puis tire un peu partout à mon tour. J’aperçois mon instructeur, confiant mais qui a l’air enragé. Il tire et un ennemie tombe au sol. Il ne s’arrête pas là et prend une autre cible dans son viseur. D’autres membres de la division font de même, les rebelles sont pratiquement encerclés, ils ont eu de nombreuses pertes, et les dommages sont omniprésents. Le niveau de la Division n’a pas été épargné non plus mais, comparé au camp adverse, les dommages ne sont que minimes. Entre deux tirs, je crois même avoir aperçu certains traîtres battre en retraite. Les agents de la Division avancent prudemment, j’ai bien vu et, finalement, les rebelles se replient peu à peu. Je suis tout essoufflé et n’en reviens toujours pas de ce qu’il vient de se passer. Les fuyard étaient restés dans l’anonymat des mois après s’être évadés, pourquoi risquer maintenant, au péril de leur vie, des attaques contre la Division, des sabotages durant les missions. Celles-ci sont pourtant top secrètes, Percy, le directeur, pensait même à des taupes au sein même de nos troupes mais n'ébruitait pas vraiment ces soupçons. En bref, voilà une journée comme les autres lorsque vous faites partit de la division...

Alors quand est-il de vous ? Seriez-vous loyal envers ceux qui vous ont transformé en espion et tueur à temps plein, ou au contraire feriez-vous partit des rebelles qui lutte sans cesse afin de démanteler cette organisation secrète aux méthodes plus que douteuses du gouvernement nommé la Division ? À moins que la jouer finement en vous faisant passer pour quelqu'un que vous n'êtes pas en l’occurrence un agent double vous intéresse le plus ? Sans parler des civils, qui ne connaissent rien de tout ça, qui vivent leur vie tranquillement sans se douter ou presque, de l'existence de telle organisation. Même si ces derniers on plus de pouvoir qu'ils ne peuvent l'imaginer, l'amour... Interdit pour les membres de la Division que ce soit avec un collègue ou un civil sous peine de sanction irrévocable, le meurtre généralement du civil concerner. L'amour, qui en fait chavirer plus d'un malgré les risques...

Et alors?